Dans ce court métrage documentaire, l’écran devient une fenêtre s'ouvrant sur la vie dans un quartier populaire. Un laitier effectue sa livraison, des enfants font réparer leur vélo, des hommes jouent au échec, un autre répare sa voiture, etc. Ce film fait partie de la série Chronique d’une vie quotidienne, tournée dans les années 1970, pour laquelle Jacques Leduc, de concert avec quelques autres réalisateurs, a filmé un film pour chaque jour de la semaine, caméra à l’épaule, afin de rapporter des événements du quotidien.
Court métrage documentaire réalisé par Jacques Leduc dans les années 1970. Les séquences du film Granit ont pour pivot la gravure d'une pierre tombale. Celle-ci sert de lien entre l'éloge qu'on fait aux vivants et celui qu'on réserve aux morts.
Ce film fait partie de la série Chronique d’une vie quotidienne, tournée dans les années 1970, pour laquelle Jacques Leduc, de concert avec quelques autres réalisateurs, a filmé un film pour chaque jour de la semaine, caméra à l’épaule, afin de rapporter des événements du quotidien.
Documentaire établissant un parallèle entre les efforts, les outils et l’investissement monétaire nécessaires à la construction d’un bungalow et ceux investis dans la recherche de l’âme sœur. Des hommes travaillent sur un chantier, pendant qu’une femme s’informe des coûts reliés aux services d’une agence de rencontres de qualité.
Ce film fait partie de la série Chronique d’une vie quotidienne, tournée dans les années 1970, pour laquelle Jacques Leduc, de concert avec quelques autres réalisateurs, a filmé un film pour chaque jour de la semaine, caméra à l’épaule, afin de rapporter des événements du quotidien.
Dans ce court métrage documentaire, l’écran devient une fenêtre s'ouvrant sur la vie dans un quartier populaire. Un laitier effectue sa livraison, des enfants font réparer leur vélo, des hommes jouent au échec, un autre répare sa voiture, etc.
Ce film fait partie de la série Chronique d’une vie quotidienne, tournée dans les années 1970, pour laquelle Jacques Leduc, de concert avec quelques autres réalisateurs, a filmé un film pour chaque jour de la semaine, caméra à l’épaule, afin de rapporter des événements du quotidien.
Ce documentaire met en situation parallèle deux mondes opposés : celui de la bourgeoisie et celui de la classe ouvrière, celui de la grande salle de bal et celui de l'usine de produits alimentaires.
Ce film fait partie de la série Chronique d’une vie quotidienne, tournée dans les années 1970, pour laquelle Jacques Leduc, de concert avec quelques autres réalisateurs, a filmé un film pour chaque jour de la semaine, caméra à l’épaule, afin de rapporter des événements du quotidien.
Court métrage documentaire sur la valeur de l'argent. Tourné en grande partie à Blue Bonnets, il questionne notre dépendance à ce maître intransigeant qu'on appelle aussi le Veau d'or.
Ce film fait partie de la série Chronique d’une vie quotidienne, tournée dans les années 1970, pour laquelle Jacques Leduc, de concert avec quelques autres réalisateurs, a filmé un film pour chaque jour de la semaine, caméra à l’épaule, afin de rapporter des événements du quotidien.
Court métrage documentaire sur Montréal l’hiver, sous la neige. Cette période de l'année est celle où les garagistes font des affaires d'or. L'automobile au service de l'humain? À voir «Les chars» on serait plutôt convaincu du contraire!
Ce film fait partie de la série Chronique de la vie quotidienne, tournée dans les années 1970, pour laquelle Jacques Leduc, de concert avec quelques autres réalisateurs, a réalisé un film pour chaque jour de la semaine, caméra à l’épaule, afin de rapporter des événements du quotidien.
Ce long métrage documentaire propose une incursion dans la vie des gens, un samedi, alors qu’ils s’adonnent à différentes activités pour célébrer la Saint-Jean-Baptiste. Un groupe d’amis prend une bière dans une ruelle, des hommes installent des manèges dans un stationnement pour une fête foraine, des couples participent à un concours de danse, d’autres jouent au bingo, etc.
Ce film fait partie de la série Chronique d’une vie quotidienne, tournée dans les années 1970, pour laquelle Jacques Leduc, de concert avec quelques autres réalisateurs, a filmé un film pour chaque jour de la semaine, caméra à l’épaule, afin de rapporter des événements du quotidien.
Court métrage documentaire constituant un montage d'images non utilisées dans les sept autres films de la série Chronique de la vie quotidienne et que, pour des raisons sentimentales, le cinéaste Jacques Leduc n'a pas voulu laisser se perdre.
En tournant au jour le jour, pendant quelque cent jours, les séquences de cette chronique, on a voulu fixer sur la pellicule « des signes de ces temps qui courent ». Fresque sur pan de mur, il s'agit d'une quotidienneté souvent banale, mais qui prend ici tout son sens en faisant découvrir l'essentiel de ce qui est vécu.