Enfer et contre tous

Enfer et contre tous


                                Enfer et contre tous
| 51 min
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Document vérité : rage, frustration, désespoir, trois mots qui reviennent sans cesse dans les propos des jeunes de la rue. Ils évoquent aussi, pourtant, les sentiments des parents des toxicomanes. C'est pour eux que la cinéaste a voulu réaliser ce film et revivre son propre passé. Andrée Cazabon s'est attachée au parcours de Cathy et Laurent. Elle les a suivis de longs mois sans rien cacher de leur existence ravagée ni des rechutes qu'ils accumulent.

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Enfer et contre tous, Andrée Cazabon, provided by the National Film Board of Canada

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Credits
  • director
    Andrée Cazabon
  • script
    Andrée Cazabon
  • producer
    Yves Bisaillon
  • picture
    Alfonso Maiorana
  • sound
    Catherine Van Der Donckt
    André Boisvert
    Diane Carrière
  • editing
    Cathy Gulkin
  • sound editing
    Leopoldo Gutierrez
  • online editing
    Denis Pilon
  • sound mixer
    Jean Paul Vialard
  • narration
    Christine Bellier
  • music
    Daniel Bouliane
    André Mongeon

  • VoixDeLaPlume

    Ouf… Encore des aberrations de notre cher système… Je comprends tellement ces parents confrontés à des lois insensées qui poussent nos jeunes dans le gouffre en prétendant les aider avec des techniques soi-disant plus efficaces que les capacités d'éducation parentale... Le premier coupable à mes yeux est le vendeur, tueur de l'enfance, assassin de l'harmonie familial qui n'aura probablement pas les conséquences dissuasives qu'il mérite. Ensuite, les lois ici menottent les parents! Nos jeunes sont d'avantage instruits sur leurs droits plutôt que sur leurs devoirs. Quant aux parents, on leur accorde toutefois, de conserver leurs yeux afin d'observer, impuissants, la scène de désolation dans laquelle sombre leur enfant et... le droit de pleurer. Je ne suis pas dans leurs souliers, ne peut probablement pas comprendre toutes les sphères de ce qu’ils surmontent mais je traverse quelques sentiers ardus qui me permettent de ressentir leurs déchirements avec une grande empathie. J'ai aussi voulu aider l'un de mes enfants et mon combat n’est pas encore fini. Le sera-t-il? J’ose en douter car non seulement on ne soutient pas les parents mais en plus on dresse de véritables murs devant nous. Mes jeunes pour le moment, ne sont pas aux prises de la toxicomanie telle qu’on l’a connait mais l’un d’eux est en détresse et aborde des comportements autodestructeurs par d’autres branches peut-être aussi dommageables que l’alcool et la drogue. Connaissant certaines fragilités chez nos jeunes, nous avons tenté mon mari et moi, diverses démarches afin de mettre en place entre autre, une forme de prévention visant à ce qu’on ne se rendre pas là. Nous avons rapidement constaté combien le soutien envers les parents dans le concept de prévention n’est pas coutume, bien au contraire! Je lance ici l’idée, pourquoi pas? ;) Et suggère la réalisation d’un film reportage qui serait aussi le bienvenu en ce qui concerne les difficultés, voir : Impasses en lien au désir de soigner nos adolescents. Ce n'est pas plus évident de regarder son jeune souffrant de maladie mentale et avoir le déchirement causé par ce cruel sentiment d'impuissance tout en constatant que nos appels à l'aide, non seulement ne sont pas écoutés par notre système de santé mais, en plus nous dit-on: "Vous savez, à 14 ans Madame, vous ne pouvez rien lui imposer, y compris une consultation et encore moins veiller au suivi de sa médication. Votre enfant a le droit de refuser" Comment un jeune qui est justement atteint de maladie mentale peut avoir la cohérence de vouloir se soigner puisque bien souvent, il ignore son état? Il faut attendre une tragédie. Ensuite, peut-être pourrons-nous espérer qu'il soit pris en main ou comme bien souvent, puisqu'on tendance à tout mélanger, il reste l'option qu'on les dirige en prison et ce, même si on envoie des S.O.S depuis pourtant de nombreuses années avec la crainte de l'éventualité d'un drame. On retire des droits aux parents, on en donne aux centres jeunesses, et au lieu de nous soutenir, on nous coupe toutes les possibilités pour ensuite nous juger des navrantes conséquences. Comme dit l'un des pères dans ce reportage: "Pourquoi ne pas offrir des formations sur les techniques à adopter puisqu'ils prétendent qu'elles sont si efficaces et entourer les familles au lieu de retirer le jeune alors qu’en bout de ligne, bien souvent, leur état non seulement ne s’est pas amélioré mais c’est surtout détériorer ...» Bien tristes ces réalités. Félicitations pour cette belle réalisation, j’ai beaucoup aimé le visionnement, la façon dont le tout a été brodé ainsi que les commentaires pertinents.

    VoixDeLaPlume, 27 May 2013
  • bredd91

    Très bon documentaire et très touchant!!

    bredd91, 20 Jan 2010

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