Ce court métrage explore le quotidien des élèves autochtones de l’école alternative N’Swakamok et souligne la valeur et la nécessité des espaces communautaires autochtones. On y suit les élèves pendant qu’ils apprennent et partagent leurs histoires, leurs aspirations, leurs difficultés et leurs réalisations. Dirigée en partenariat avec le N’Swakamok Native Friendship Centre, l’école alternative N’Swakamok, un établissement satellite de l’école secondaire de Sudbury, offre aux élèves des activités culturelles et un espace de soutien où ils peuvent acquérir des aptitudes à la vie quotidienne tout en poursuivant leurs objectifs scolaires et personnels.
Depuis sa création en 1976, le Toronto Council Fire Native Cultural Centre est un endroit où la communauté autochtone urbaine peut se sentir en sécurité, apprendre et grandir. Le centre offre des enseignements culturels et crée un espace, en particulier pour les jeunes, où se réapproprier son identité autochtone. Au cœur de son histoire et de ses enseignements : le tambour, appelé «notre mère?». Dans Revenir au point de départ, on apprend à connaître les membres du Toronto Council Fire Youth Program alors qu’ils entreprennent de nouvelles aventures. On fait la rencontre d’un groupe de joueurs de tambour qui enregistrent des pièces dans un studio professionnel et d’une troupe de jeunes danseurs qui font une démonstration dans un studio de danse.
Ce court métrage explore le quotidien des élèves autochtones de l’école alternative N’Swakamok et souligne la valeur et la nécessité des espaces communautaires autochtones. On y suit les élèves pendant qu’ils apprennent et partagent leurs histoires, leurs aspirations, leurs difficultés et leurs réalisations. Dirigée en partenariat avec le N’Swakamok Native Friendship Centre, l’école alternative N’Swakamok, un établissement satellite de l’école secondaire de Sudbury, offre aux élèves des activités culturelles et un espace de soutien où ils peuvent acquérir des aptitudes à la vie quotidienne tout en poursuivant leurs objectifs scolaires et personnels.
Quelques histoires suit un groupe de jeunes Autochtones de la région de Nipissing (Nbisiing) qui se réunissent au North Bay Indigenous Friendship Centre et explorent l’importance et l’impact des histoires dans leur vie
Bien avant que le Canada devienne un pays, chaque nation de l’Île de la Tortue avait son propre jeu de balle et de bâton. Le plus populaire sur ce continent a toujours été la crosse, donnée aux Premières Nations par les oiseaux et les animaux à quatre pattes, et pratiquée pendant des siècles comme jeu médicinal. Ce court métrage explore comment le jeu médicinal, transmis de génération en génération par les Haudenosaunee au Fort Erie Native Friendship Centre, aide à raviver leurs cultures et à souder leurs communautés. Chez de nombreuses Premières Nations, les jeunes ont toujours été au centre de la communauté, et ce documentaire démontre combien il est sage de cultiver l’esprit d’appartenance chez les jeunes et comment cela contribue à façonner un avenir meilleur.
Ce court métrage offre un instantané de la vie à Fort Frances, en Ontario, alors que certains membres de la communauté se préparent à se rassembler dans un endroit spécial qui unira les cœurs et les esprits. En s’engageant dans une cérémonie et en célébrant leur langue, leur culture et leur terre, ils créent le zaagi’idiwin, un symbole de leur vérité, de leur histoire et de leur propre réconciliation, défini par la communauté, beau et inspirant.
Urbains.Autochtones.Fiers est un partenariat entre l’Ontario Federation of Indigenous Friendship Centres (OFIFC) et l’Office national du film du Canada (ONF), qui vise la réalisation de films. Favorisant une approche communautaire, l’OFIFC et l’ONF ont produit cinq courts métrages documentaires réalisés par des cinéastes autochtones qui explorent la culture et le vécu des Autochtones en milieu urbain dans les centres d’amitié de cinq communautés.