En 1967, un résident hors du commun s’installe dans la petite ville d’East River, en Nouvelle-Écosse : Balakrishna, un éléphant originaire de l’Inde. Cet animal étant considéré comme un symbole de prospérité dans les cultures hindoue et bouddhiste, un homme d’affaires indien fait venir Balakrishna afin que l’animal soit présent à l’ouverture de sa nouvelle usine. Personne ne voue une aussi grande admiration à l’animal que le jeune Winton Cook, et une magnifique affection naît entre le garçon et ce gigantesque nouvel ami. Soutenu par une animation pittoresque, des photographies et de formidables séquences de vieux films amateurs, Balakrishna nous communique la nostalgie sincère des souvenirs d’enfance précieusement conservés. Si le film aborde les thèmes de l’amour, de l’amitié et de la perte, il porte également sur les enjeux touchant l’immigration et la préservation des éléphants.
Empruntant à Kafka et à Kubrick, Papillioplastie est une science-fiction satirique, grotesque et visionnaire qui fait passer la chirurgie plastique à un niveau supérieur. Le film présente une vision percutante et sardonique d’une société où l’obsession de la beauté a basculé dans une spirale incontrôlable.
Un pilote de guerre traumatisé atterrit en catastrophe par la fenêtre de son appartement. En rentrant du travail, son épouse découvre qu’il a maintenant une turbine d’avion à la place du visage et qu’il est tombé amoureux du ventilateur de plafond de la cuisine. Pour sauver leur mariage qui bat de l’aile, elle décide qu’elle ne laissera plus son humanité se mettre en travers de leur amour.
Un animateur fouille son propre corps pour en extirper les souvenirs, les émotions et les angoisses qui viendront nourrir son œuvre. De la peau d’abord coupée au scalpel surgissent divers objets symboliques évoquant son passé. Arrivé au cœur après s’être fracassé les côtes, il parvient à identifier le poids dont il veut se délester.
Voici Annie, une femme qui sait trouver son équilibre malgré les fluctuations d’un quotidien tumultueux. Mêlant images réelles et animation traditionnelle, la cinéaste Anita Lebeau nous entraîne dans une visite éclair de l’univers d’Annie et nous montre la force des choix apparemment anodins que nous effectuons tous les jours.
Un tandem d’improbables voyageurs croise sur sa route un jeune homme apparemment inconscient du fait qu’on puisse l’observer. Collectionneur examine le concept des espaces semi-privés et la façon dont nous agissons lorsque nous oublions qu’on peut nous voir.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 12, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Une jeune femme célèbre sa solitude au sein d’un monde urbain. De la FOMO (peur de rater quelque chose) à la JOMO (joie de manquer quelque chose), Le fabuleux calendrier rappelle qu’il existe des moyens astucieux de contourner les obligations sociales pour prioriser son espace intime.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 12, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
XO Rad Magique est un poème lyrique sur la lutte quotidienne qu’impose la schizophrénie aux personnes qui en sont atteintes. Ce film aux images psychédéliques et hypnotiques illustre la beauté que recèle leur cerveau en dépit du combat intérieur qui les habite.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 12, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Hart Snider nous ramène à l’école secondaire, où il est redevenu un ado anonyme, incapable d’inviter la fille de ses rêves à sortir et forcé de participer à un atelier dirigé par le redoutable Monsieur P. Un regard « drôlement sombre » sur la croissance, vue selon la perspective d’un garçon au seuil de l’âge adulte.
La Première Guerre mondiale fait rage. Ayant vécu une douloureuse rupture amoureuse, l’artiste expressionniste Oskar Kokoschka part au combat. Lorsqu’il est grièvement blessé sur le front russe, les souvenirs et les visions s’emparent de son esprit tandis que les secouristes le transportent à travers la forêt. Divertissant et inventif, I’m OK (Je suis OK) explore les profondes blessures infligées par le chagrin d’amour et par les expériences traumatisantes.
Qui ose déranger la grand-mère du diable et pénétrer dans sa paisible maison toute d’os construite ? Qui donc est assez fou pour trahir cet esprit-nature immortel ? Baba Yaga détient les réponses à vos besoins, mais est-ce que ce sont réellement celles que vous cherchez ? La prudence s’impose, car si vous passez par là, vos ambitieux projets pourraient bien revenir vous hanter…
Inspiré d’un ours ayant réellement vécu au parc Stanley de Vancouver, Le zoo raconte l’histoire d’un petit ours polaire et d’un jeune Chinois qui lui rend visite, jusqu’à ce que chacun arrive au crépuscule de son existence. La réputée cinéaste Julia Kwan évoque de façon bouleversante les quartiers ethniques, l’embourgeoisement, l’abandon des aînés ainsi que la notion selon laquelle Le véritable chez-soi habite notre cœur.
Manivald le renard vient d’avoir 33 ans. Surdiplômé, chômeur et plutôt coincé, il habite avec sa mère, une retraitée dominatrice : une vie facile, certes, mais terne. Cette dépendance mutuelle est toutefois chamboulée par une machine à laver en panne et un réparateur nommé Toomas, jeune loup sexy et aventurier venu à la rescousse.
Dans une forêt luxuriante et animée vit un hérisson à la fois respecté et envié des autres animaux. Mais sa dévotion indéfectible à son foyer irrite quatre bêtes insatiables. Ensemble, elles se rendent à la maison du hérisson et déclenchent un virulent affrontement.
Remarquable réalisation d’Eva Cvijanović inspirée de la célèbre histoire de Branko Ćopić, auteur de l’ex-Yougoslavie, La maison du hérisson est un conte chaleureux et universel qui rappelle à tous, jeunes et moins jeunes, qu’on n’est jamais mieux que chez soi.
Charles sait qu’il est différent des autres enfants. Tous les jours à l’école, on lui rappelle qu’il n’a pas la même vie que ses compagnons de classe. Tous les jours à la maison, il constate qu’il ne reçoit pas les mêmes soins que les enfants du voisinage. Pour esquiver les injustices et les railleries, Charles s’invente un refuge paisible peuplé de petites grenouilles bienveillantes.
Présentée par l’ONF, Canal+ et Sacrebleu, la collection Chroniques du 9e art rend hommage à la grande affinité entre deux formes d’art : la bande dessinée et le cinéma d’animation. À travers 4 histoires de 3 minutes tirées du quotidien, elle révèle le style et l’imaginaire fascinant de créateurs québécois (Guy Delisle,Zviane) et français (Aude Picault,Lewis Trondheim, Jean Matthieu Tanguy) renommés. Découvrez l’humour, la créativité et la fantaisie de ces bédéistes devenus réalisateurs. La pureté de l’enfance L’écoute d’une cassette retrouvée transporte la bédéiste Zviane vers son enfance. Basé sur un enregistrement réel, ce film hilarant traduit avec un style ludique l’imaginaire des enfants. Une fenêtre sur le quotidien, signée Chroniques du 9e art.
Présentée par l’ONF, Canal+ et Sacrebleu, la collection Chroniques du 9e art rend hommage à la grande affinité entre deux formes d’art : la bande dessinée et le cinéma d’animation. À travers 4 histoires de 3 minutes tirées du quotidien, elle révèle le style et l’imaginaire fascinant de créateurs québécois (Guy Delisle,Zviane) et français (Aude Picault,Lewis Trondheim, Jean Matthieu Tanguy) renommés. Découvrez l’humour, la créativité et la fantaisie de ces bédéistes devenus réalisateurs. La dent Pourquoi la petite souris n’a-t-elle pas récupéré la dent laissée sous l’oreiller? Le Québécois Guy Delisle renoue avec son célèbre «?mauvais père?» pour illustrer avec humour la paternité. Une fenêtre sur le quotidien, signée Chroniques du 9e art.
Présentée par l’ONF, Canal+ et Sacrebleu, la collection Chroniques du 9e art rend hommage à la grande affinité entre deux formes d’art : la bande dessinée et le cinéma d’animation. À travers 4 histoires de 3 minutes tirées du quotidien, elle révèle le style et l’imaginaire fascinant de créateurs québécois (Guy Delisle,Zviane) et français (Aude Picault,Lewis Trondheim, Jean Matthieu Tanguy) renommés. Découvrez l’humour, la créativité et la fantaisie de ces bédéistes devenus réalisateurs. L’amour libre Dans un café, deux femmes font le point. Rempli de non-dits, ce film de la bédéiste française Aude Picault est un clin d’œil à la jalousie qui se cache parfois derrière les amitiés féminines. Une fenêtre sur le quotidien, signée Chroniques du 9e art.
Présentée par l’ONF, Canal+ et Sacrebleu, la collection Chroniques du 9e art rend hommage à la grande affinité entre deux formes d’art : la bande dessinée et le cinéma d’animation. À travers 4 histoires de 3 minutes tirées du quotidien, elle révèle le style et l’imaginaire fascinant de créateurs québécois (Guy Delisle,Zviane) et français (Aude Picault,Lewis Trondheim, Jean Matthieu Tanguy) renommés. Découvrez l’humour, la créativité et la fantaisie de ces bédéistes devenus réalisateurs. Chronique panoramique À quoi pensent les gens dans le train? Les Français Lewis Trondheim et Jean Matthieu Tanguy se sont amusés, avec finesse et esprit, à imaginer leur vie dans ce film narré par Thomas Fersen. Une fenêtre sur le quotidien, signée Chroniques du 9e art.
New York, 1905. L’inventeur visionnaire Nikola Tesla fait un ultime appel à J.P. Morgan, son mécène de jadis… Inspiré de faits réels, ce court métrage électrisant est une spectaculaire explosion audiovisuelle puisant son énergie autant dans le documentaire animé que dans les références au cinéma d’avant-garde.
Ce film expérimental fait appel aux plans d’archives et à l’animation pour faire connaître 3000 ans de culture inuite en trois chapitres : le passé, le présent et l’avenir.
Sombre allégorie sur la cupidité et sur la sanction spirituelle qu’elle engendre, J’aurai ta peau… se déroule à l’époque de la traite des fourrures. En 1823, le gouverneur de la plus importante entreprise de commerce des fourrures au monde parcourt son dominion pour en extraire les richesses toujours plus considérables que lui procure la fructueuse chasse hivernale. Car dans son implacable univers de profits et de pertes, on tue les animaux jusqu’à la limite de l’extinction. Mais un jour, l’équilibre du pouvoir bascule, et les forces de la nature imposent une fort coûteuse sanction. Saluant au passage Melville et Coleridge, les réalisateurs Carol Beecher et Kevin Kurytnik ont créé un saisissant mythe contemporain sur le prix de l’arrogance et de la cupidité.
Court métrage d'animation de Patrick Péris sur les premiers émois amoureux.
La plus belle fille du monde vient de surgir de nulle part pour se poser à la table juste en face de moi à la bibliothèque municipale. Jour de chance ou de malchance? Son sourire me paralyse.
Comment Sam va-t-il s’en sortir pour gagner le cœur de Nadine? Devra-t-il chercher le samouraï en lui pour combattre le monstre de son angoisse? Le vrai courage, c’est d’agir malgré sa peur.
Une jeune femme décide de ne pas répondre à un appel téléphonique de son grand-père, sans savoir que ce sera le dernier. Après la mort de celui-ci, submergée par la culpabilité et les regrets, elle peine à trouver le sommeil. Elle se souvient alors de cette promesse faite jadis : celle de dessiner les aventures de son grand-père, résistant durant la guerre. En coproduction avec Picbois Productions.
Se déployant au rythme des saisons, Un printemps raconte avec tendresse l’histoire d’une jeune fille qui, poussée par un besoin d’épanouissement, quitte le nid familial. Traits fins et épurés, inspirés de la technique à l’encre de Chine, et transitions fluides portent la signature déjà mature de Keyu Chen dans cette première œuvre délicatement ouvragée.
La montagne de SGaana est un conte fantastique à propos d’un jeune homme emporté dans le monde des esprits et de la jeune femme qui vient à son secours. Dans ce petit bijou de film onirique, le cinéaste haïda Christopher Auchter entremêle avec brio animation traditionnelle et éléments emblématiques de l’art haïda auxquels donnent vie une riche palette évocatrice et des effets stylisés.
Rituel exécuté dans la ville portuaire iranienne de Buchehr, « Deyzangeroo » était influencé par la domination coloniale portugaise et britannique, ainsi que par la présence des esclaves africains. Imprégné de la terreur et de la magie qu’évoquait l’éclipse lunaire, il devait repousser les esprits maléfiques et faire réapparaître la Lune… et fonctionnait chaque fois. Ce court métrage d’animation réalisé par le cinéaste canadien d’origine iranienne Ehsan Gharib repose sur l’animation peinte à la main, la photographie à intervalle et la photographie truquée au moyen de miroirs, ainsi que sur l’envoûtante musique du compositeur et percussionniste virtuose Habib Meftah Boushehri.
Shaman est le fruit de la première collaboration entre l’Office national du film du Canada et l’artiste inuite du Labrador Echo Henoche, qui signe ici sa première œuvre en tant qu’animatrice. Le court métrage donne vie à la légende préférée d’Echo Henoche, celle d’un ours polaire féroce transformé en pierre par un shaman, que racontait son grand-père dans son village natal de Nain, au Nunatsiavut, sur la côte nord du Labrador. Dessiné et peint à la main dans un style unique, Shaman communique le regard de l’artiste sur cette légende inuite du Labrador
Dans ce court métrage de la bédéiste et cinéaste d’animation québécoise Diane Obomsawin (alias Obom), Charlotte, Mathilde, Marie et Diane racontent avec franchise et candeur leurs premières histoires d’amour. Du coup de foudre à sens unique à l’attirance mutuelle, pour chacune d’entre elles, le moment de l’éveil sexuel a rejoint une prise de conscience identitaire : la découverte du désir homosexuel! Vous aimez ce film? Affichez vos couleurs en vous procurant l'un de ces articles à son effigie!
Mélangeant séquences animées et extraits d’archives, Oscar est un portrait touchant du pianiste virtuose Oscar Peterson. Des débuts du jeune prodige de la Petite-Bourgogne à ses triomphes sur la scène internationale, ce documentaire de Marie-Josée Saint-Pierre aborde la profonde solitude de l’artiste constamment en tournée. Au son de sa musique tantôt entraînante, tantôt teintée de mélancolie, le film raconte avec émotion une vie dans le jazz.
Dans ce fascinant voyage à la frontière du réel et de l’imaginaire, Grace, une fillette de 10 ans, se sert de ses superpouvoirs d’imagination pour trouver son chemin dans le paysage émotionnel de la dépression de sa mère. L’auteure et réalisatrice Wanda Nolan s’est associée à l’animatrice Claire Blanchet pour tisser une histoire profondément émouvante.
Les images de la nature — forêt, eau, animaux — sont autant d’allégories des obstacles que rencontrent les personnes souffrant de maladie mentale et leurs proches. Portrait de famille saisissant, histoire inspirante d’adversité et de résilience, Le mystère de la chambre secrète célèbre le pouvoir transformateur de la littérature et de l’imagination.
Un mystérieux voyageur sillonne l’espace et le temps, à la recherche des origines de l’univers, de la vie, de Dieu. Finalement, se retrouvant seul aux dernières lueurs d’un cosmos vieillissant, il en arrive à un accablant constat. Mais l’univers continue de tourner.
Inspiré par des sons trouvés de bébés, ce court métrage d'animation jette un regard sur le comportement étrange des gens s’entrainant dans une salle de sport.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 11, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Écartez-vous des portes... Ce court métrage, hybride surréel d’animation image par image et 2D, est l’histoire d’un rêve à propos d’un train inspiré par le son trouvé d’une voiture du métro de Toronto.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 11, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Dans ce court métrage d'animation, des dessins au charbon dépeignent de manière touchante la solitude et le bouleversement d’un enfant cherchant refuge dans une zone de guerre. Ce film opportun utilise du son trouvé afin d’explorer le sentiment d’impuissance dans l’expérience des réfugiés.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 11, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Partant du son trouvé d’un cours d’anglais, ce court métrage d'animation présente une descente visuelle dans la folie propulsée par l’effort de garder sa tête, même quand ça semble presque impossible.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 11, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Imprimé manuellement sur une ancienne table d’impression et en utilisant des blocs de linoléum gravés à la main, ce court métrage d'animation suit un nouveau père qui apprend sur la liberté d’expression et le pouvoir du lâcher-prise. Inspiré par le nouveau bébé garçon du cinéaste et des sons trouvés.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 11, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Dans ce court métrage d'animation, une apparition se révèle à travers la pellicule et transmet des vestiges d’une origine oubliée. Les spectateurs ont-ils bien interprété ses signes ou le message a-t-il été mal entendu? Inspiré par le son trouvé captant la découverte, par deux personnes, d’un mystérieux événement céleste.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 11, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Dans ce court métrage d’animation, une Chevrolet Bel Air 1957 interprète une version ironique de la ballade américaine « Que Sera Sera (Whatever Will Be, Will Be) ». La calandre de la vedette devient une bouche enjôleuse, d’où s’échappent les paroles rassurantes de la chanson, tandis qu’un chœur d’automobiles l’accompagne en une chorégraphie spectaculaire.
Satire grinçante de la puissance pétrolière, Autos Portraits est une comédie musicale à grand déploiement, dans laquelle le cinéaste et bédéiste chevronné Claude Cloutier (La tranchée, Isabelle au bois dormant) caricature l’insouciance contemporaine face aux périls qui menacent la planète.
L’histoire vraie d’un « gentil garçon juif aux tendances bouddhistes » qui subit une crise cardiaque. À la croisée des chemins entre le documentaire et l’animation, le film de Sheldon Cohen allie l’humour ironique aux réflexions philosophiques pour montrer que, parfois, ce qu’on soupçonne être la fin n’est souvent que le début.
Adaptation moderne du mythe d’Hercule, ce court métrage d'animation raconte l’histoire d’un jeune boxeur qui se débat entre sa nature timide et studieuse et un caractère extrêmement violent. D’où vient donc la rage qui l’habite? Est-elle attribuable à des facteurs psychologiques, environnementaux… ou à quelque chose de bien plus primitif?
Ce court métrage d’animation humoristique aborde le sujet de la passion amoureuse qui fait place à la routine dans un couple bien établi. Comment ranimer la flamme après vingt-cinq ans de vie commune? La comédie érotique d’Izabela Plucinska, entièrement réalisée avec de la pâte à modeler, pénètre dans l’intimité d’Alice et Henri, un couple de quinquagénaires usé par le train-train quotidien.
Avec ce court métrage d’animation, le Canadien d’origine bulgare Theodore Ushev signe, à même son sang, un pamphlet politique virulent, brutal et dérangeant, qu’il narre lui-même d’une voix grave. Un peu partout sur la planète, le sang d’idéalistes révolutionnaires coule pour dénoncer des injustices. Le sang est pourtant le symbole même de la vie. À quoi bon se battre pour des idéaux, aussi nobles soient-ils, si au bout du compte il faut y laisser sa vie? La rébellion et l’insurrection sont-elles des gestes égoïstes ou des leçons d’altruisme pur? Ces questions complexes et cruciales alimentent les réflexions du cinéaste. Poétique et philosophique, son entreprise demeure lucide, mais fondamentalement désabusée et cynique. Le spectateur revient de cette danse des symboles ébranlé et discrètement transformé.
Le célèbre astronaute canadien Kao-Kuk revient tout juste d’une mission dangereuse dans un fossé intergalactique de l’espace lointain. Mais de retour à la station spatiale, un mystère encore plus sombre l’attend et le placera sous la menace d’une effroyable catastrophe.
Dans les profondeurs d’un appartement typique de l’après-guerre dans la petite ville d’Echo, en Ontario, se trouve une machine massive et, selon toute vraisemblance, sans fin. Quel est son but? À quoi sert-elle?